Période de fêtes oblige, la réunion de famille annuelle s'est tenue aujourd'hui. Toute la famille s'est réunie. Enfin presque. Il y a toujours ceux qui esquivent. Les moutons noirs.
La famille étant grande (sans compter les compagnons et compagnonnes de vie de certains cousins), deux tables ont été dressées, et bien entendu, la répartition s'est faite selon le critère génération. Les jeunes, à gauche. Les vieux, à droite. (tiens, ça me rappelle...)
Et les discussion s'en sont allées bon train. Les études, les jobs, les primaires américaines (Allez Obama!), l'accouplement des koalas en Océanie... oui il faut bien meubler un peu dans ces repas qui n'en finissent pas. Il serait très intéressant d'analyser à quel point le jeune parvient à voguer de Charybde en Scylla. Je me consacrerai également un jour à l'étude des mamies en milieu hostile.
Mais enfin, l'heure de débarrasser arriva (= heure du goûter). Puis, le jeu. Tout comme l'année passée, le loup garou a été à l'honneur. Mais en famille, le loup garou se révèle diablement délicat. Il faut savoir déjouer les pièges du conflit familial et l'écueil du déshéritage. Pas facile facile. Du coup ce sont les pauvres qui perdent en premier :-)
Le jeune sait apprécier ses retours aux sources, il aime retrouver ceux avec qui il partage ses gènes et son sang. Dans la même veine que la pensée italienne, l'étudiant normand est conscient que la famille, c'est ce qui reste quand tout a foutu le camp.
La famille étant grande (sans compter les compagnons et compagnonnes de vie de certains cousins), deux tables ont été dressées, et bien entendu, la répartition s'est faite selon le critère génération. Les jeunes, à gauche. Les vieux, à droite. (tiens, ça me rappelle...)
Et les discussion s'en sont allées bon train. Les études, les jobs, les primaires américaines (Allez Obama!), l'accouplement des koalas en Océanie... oui il faut bien meubler un peu dans ces repas qui n'en finissent pas. Il serait très intéressant d'analyser à quel point le jeune parvient à voguer de Charybde en Scylla. Je me consacrerai également un jour à l'étude des mamies en milieu hostile.
Mais enfin, l'heure de débarrasser arriva (= heure du goûter). Puis, le jeu. Tout comme l'année passée, le loup garou a été à l'honneur. Mais en famille, le loup garou se révèle diablement délicat. Il faut savoir déjouer les pièges du conflit familial et l'écueil du déshéritage. Pas facile facile. Du coup ce sont les pauvres qui perdent en premier :-)
Le jeune sait apprécier ses retours aux sources, il aime retrouver ceux avec qui il partage ses gènes et son sang. Dans la même veine que la pensée italienne, l'étudiant normand est conscient que la famille, c'est ce qui reste quand tout a foutu le camp.
2 commentaires:
Mamma Mia ! C'est quoi cette comparaison foireuse entre la Normandie et l'Italie ? "La pensée italienne"... C'est plus un mythe qu'on associe à la société italienne ! Tu n'es même pas italologue (euh...) ! Seuls les gens qui font de la syntaxe ont le droit de parler comme des pros de choses qu'ils ne comprennent pas ! Florilège :
"La diathèse pronominale se caractérise par une assimilation de l’agent au patient du procès ; cette idée est soulignée par l’utilisation du réfléchi, comme dans « il se lave ». On distingue cette diathèse de la diathèse réciproque, dans laquelle est établie une relation mutuelle entre plusieurs acteurs désignés par un seul sujet pluriel (ou un singulier collectif) avec le réfléchi « se », ainsi la phrase « Elles s’adorent »." (Alexis Duval)
C'est rigolo ! Pour l'instant, toi, contente-toi de parler de choses que tu connais... En fait non, continue : tu feras un bon journaliste comme ça ! Je ne pensais pas avoir eu une influence aussi grande sur ton esprit malléable... Mouahahahahah
Ciao bambino !
Alex, collègue de chez http://cosmomood.canalblog.com (vive la pub) !
Merci Alex...
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